En début de pandémie, nos politiques nous avaient informés que le port du masque était inutile, car inefficace. Aujourd’hui, il est recommandé de le porter. Deux positions contradictoires entraînant de nombreuses polémiques…
Nous avons commencé par accueillir dans l’ouverture, l’expérience du chercheur Richard DAVIS qui démontre la différence de propagation du virus avec et sans le port du masque. Même si ce n’est qu’un test, l’ayant trouvé intéressant, nous l’avons incorporé à notre billet Blog ►Qui a dit : « Quand la santé va, tout va » ?
Puis, il nous a été transmis deux articles qui nous expliquent « pourquoi il ne peut jamais y avoir de test empirique d'une politique nationale de port de masques », complétés, entre autres, d’un questionnement concernant « les aspects inconnus du port du masque », ce qui nous invite, avant tout, à être responsable dans son utilisation.
- ►Les masques ne fonctionnent pas : « (…) de nombreuses études randomisées contrôlées (ECR) et des revues de méta-analyse des études ECR, qui montrent toutes que les masques et les respirateurs ne fonctionnent pas pour prévenir les maladies respiratoires de type grippal ou les maladies respiratoires qui seraient transmises par des gouttelettes et des aérosols. particules. (…) »
- ►Une expérience sans précédent : Parfois, il suffit de porter le stupide. « (…). Il existe de nombreux documents dans le monde entier qui prouvent que nos dirigeants se sont trompés sur le COVID-19 dans de nombreux domaines. (…) la majorité des Américains ont accepté la réponse nationale COVID-19 (…) même ceux qui savaient que la réponse était non seulement extrême, mais injustifiée, se conformaient à "Je suppose que parfois tu dois juste porter le stupide" (…) ».
Pendant que nous tentons de démêler le vrai du faux, le virus continue à circuler. Des spécialistes reconnaissent humblement se tromper devant la face cachée de ce virus. Alors pourquoi ne pas couper la poire en deux et, en conscience, considérer que le port du masque, doublé des gestes barrières, minimise les risques sans les éliminer complètement ?
Mis à part que nous n’osons pas imaginer la tête que feront les milliards d’asiatiques en découvrant « porter le stupide », il est toujours mieux de remettre les choses dans leur contexte. En effet, nous avons la prétention de les connaître un peu, avec leur fonctionnement pragmatique qui "ne fait rien pour rien" et les raisons qui les ont motivés à porter le masque : ~ Au départ, c’était une protection supplémentaire envers eux-mêmes, afin de se protéger de la pollution de l’air dans les grands centres surpeuplés. ~ Ensuite, à cause des multiples contacts humains et le risque de contracter des rhumes et des grippes, le port du masque est devenu une pratique courante, autant au bénéfice de la personne possiblement contagieuse que pour celle qui veut rester en bonne santé. ~ Après, sont apparus la grippe aviaire, et le SRAS qui est une maladie infectieuse causée par un virus appartenant à la famille des coronavirus, et le port du masque s’est transformé en un geste réflexe de la vie quotidienne de manière à limiter les épidémies, et à aucun moment il leur est venu à l’esprit que c’était stupide de le porter.
Une chose est sûre, nous sommes pour rester auteur de notre vie, immergés au sein d’un collectif en gardant notre libre arbitre dans le respect des individualités, des croyances et des us et coutumes. Nous ne voulons, ni influencer, ni manipuler, qui que ce soit.
Nous savons qu’il est important de connaître et de comprendre les grands enjeux de notre société de façon à agir en prenant la responsabilité de nos actes. Cependant, avec tous les bouleversements en cours, nous constatons encore une fois que nous faisons tous des erreurs et qu’il est difficile, voire impossible, de tout maîtriser.
C’est la raison pour laquelle, afin d’aller plus vite et plus loin, nous abordons les ruptures en chemin en traitant les sujets de société qui posent problème de façon globale et par anticipation, plutôt que de dépenser nos énergies à "réparer" les conséquences du "manque d’éthique", pris au sens large du terme.