26-11-2021

Focus sur les start-up françaises

Nous découvrons dans les travaux des équipes de France Stratégie : « (…) que la France est parmi les premiers pays de la Tech d’Europe occidentale [ce sont les entreprises, de tous les secteurs de l’économie, dont l’innovation repose sur l’utilisation de technologies, qu’elles soient numériques, incrémentales ou de rupture], (…) que les levées de fonds ont doublé pour dépasser les 5 milliards d’euros en 2020, (…) que de fait, si l’écosystème des start-up françaises n’a cessé de se densifier depuis vingt ans, c’est notamment parce que les pouvoirs publics y ont mis les moyens (…). »

Quelques précisions relevées sur le site ►I DOM YOU pour comprendre ce qu’est une start-up ? : « Une start-up est une "Jeune entreprise innovante dans le secteur des nouvelles technologies"…avant tout un véritable état d’esprit, une vision portée par son fondateur et qui fonctionne sur un marché en création ou encore instable… »

« La start-up définie en 4 points :

  • c’est une phase Temporaire,
  • l’objectif principal de la start-up est la recherche d’un Business model. Son but est de transformer une idée en entreprise, de trouver une nouvelle manière de rendre un service, de créer de la valeur. L’innovation est au cœur de la stratégie de la start-up qui cherche à apporter de la valeur à ses clients avec un produit ou un service novateur,
  • c’est un modèle Reproductible à grande échelle,
  • elle doit également travailler à augmenter sa Scalabilité [sa capacité à maintenir une forte rentabilité malgré la montée en charge (trouver un modèle où l’augmentation du nombre de clients et des marges sont simultanées)]. Une start-up, c’est avant tout l’histoire d’une équipe animée par un projet commun, aux mêmes valeurs et aux mêmes passions. (…) »

Clin d’œil sur le rapport France Stratégie : ►L’emploi dans les start-up françaises

« (…) Le modèle de gestion des compétences mobilisé en start-up présente la particularité d’être bâti et de s’être développé autour d’un socle de pratiques récurrentes, avec une culture « fun » et souple de l’organisation du travail comparativement à celle des grandes entreprises. L’imaginaire collectif sur la start-up s’est ainsi construit sur la mise en scène d’un modèle d’organisation à part avec une politique de RH qui accorde une place clé aux salariés entrepreneurs et une organisation fondée sur des architectures dites ouvertes.(…) »           

« (...) L’esprit start-up, c’est un esprit d’audace, de complicité, quasi-familial, de sens du travail partagé avec un objectif commun et un environnement de travail choisi et “sur-mesure”.».

Cependant, il apparaît que les start-up sont confrontées aux mêmes difficultés de recrutement que les entreprises classiques ?

« Les start-up disent peiner à recruter. (…) Il s’agit désormais de mettre les enjeux de recrutement et de formation au premier plan. La pérennisation des start-up en dépend.(…) Si les compétences techniques sont essentielles, on assiste à une transformation de la hiérarchie des critères de sélection. On constate ainsi chez les start-up une tendance à considérer les compétences transversales comme un critère primordial de recrutement et une propension à accorder de plus en plus d’importance à l’expérience professionnelle.(…) »

Nous soulignons ce constat puisque Oui Ensemble a été conçu grâce à des ressources expérimentées séniors engagées aux côtés de la jeune génération.

De plus, de façon à porter ce projet sociétal, nous avons architecturé notre action sur un procédé de conception qui couple des compétences utilisées en mode transversal en lien avec des multi-services proposés "par ricochet".

En effet, afin d’entreprendre des transformations dans nos modes de vie en lien avec les problématiques environnementales et climatiques, nous sommes partis de la complexité des besoins de l’Humain pour faire évoluer les représentations sur le monde du travail et mettre le cap sur ►le pouvoir d’achat.

Sur des valeurs et des intérêts communs, les équipes Oui Ensemble coopèrent avec les acteurs organisés en :

  • B2C (Business to Consumer : c’est l'ensemble des relations qui unissent les entreprises et les consommateurs finaux. Ce type de commerce recouvre les marchandises ou les prestations conçues pour le grand public).
  • C2C (Consumer to Consumer : c’est l'ensemble des échanges de biens et de services effectués directement entre deux ou plusieurs consommateurs)
  • B2B (Business to Business : c’est l'ensemble des activités commerciales nouées entre deux entreprises. Cela concerne tous les moyens utilisés pour mettre en relation ces sociétés et faciliter les échanges de produits, de services et d'informations entre elles).
  • A2C (Administration to Consumer : c’est l'ensemble des relations ayant lieu entre les administrations publiques et les consommateurs finaux qui sont les particuliers. Cela recouvre les applications mises en œuvre par les services centraux et déconcentrés de l'État, par les collectivités locales et par les organismes de Sécurité sociale afin d'interagir directement avec la population).
  • A2B (Administration to business : c’est l'ensemble des échanges qui ont lieu entre les administrations publiques et les entreprises privées. On entend les services centraux et déconcentrés de l'Etat, les collectivités locales et les organismes de Sécurité sociale, ainsi que certains organismes privés délégataires d'un service public comme les Urssaf. Les échanges peuvent concerner le prélèvement de l'impôt et de cotisations, la transmission volontaire ou obligatoire d'informations, la candidature et la conclusion d'un marché public...).