C'est quoi ?

Le projet

Bien vieillir longtemps ensemble
Une action citoyenne humaniste qui bifurque vers un autre modèle de société.

Sa raison d'être ?

Réconcilier inclusion sociale, qualité de vie au travail, et environnement.

Son but ?

« Soutenir l’inclusion sociale en cassant les codes et les usages pour Travailler autrement, Vivre dignement et Vieillir sereinement, par des savoir-agir sécurisés de manière à rester auteur de sa vie sur son territoire, avec son brassage culturel et ses modes de vie durables. »

Comment mettre en action ce projet ?

Avec 2 objectifs spécifiques

Agir en amont pour proposer le maintien en activité adapté à chaque étape de la vie, en changeant de paradigme et en revisitant nos modes de vie.

Garantir à nos aîné.e.s une autonomie à leur domicile, en réduisant les coûts et en luttant contre le turnover des aidant.e.s professionnel.le.s.

Les populations vieillissent, le visage de la précarité change, le climat se modifie…

Ce phénomène mondial entraîne des dérèglements dans tous les domaines et va déclencher des flux migratoires et métamorphoser le visage de nos sociétés !

Nous proposons d’agir en déployant les deux objectifs du projet au sein d’une Organisation Sociale Inclusive architecturée sur une méthodologie de pénétration de marché différente, grâce au procédé de conception projet holistique, c’est-à-dire global et transversal :

  • Avec une politique des RH, novatrice, conçue sur une philosophie humaniste réaliste et pragmatique en faveur des intérêts sociaux et économiques des citoyen.ne.s de tous les âges.
  • Avec un modèle économique créé ex-nihilo, dans la démarche réseau, orchestré de manière à sécuriser les « savoir-agir » des RH qui favorisent l’économie circulaire autour de l’émergence de sociétés plus écologiques et solidaires.
Comment s'organiser ?

Le point d’avancement du projet est relié à une question : Oui Ensemble peut-il se concrétiser si sa vision sociale et sociétale ne converge pas avec les orientations étatiques ?

La réponse est dans l’importance que les décisionnaires donnent aux êtres vivants…

En effet, le plan financier démontre que le coût du turnover est bien plus important que le coût de ce projet d’intérêt général en autofinancement à la fin de l’année 3. Or, les portes restent fermées face aux fonds nécessaires pour concevoir le SİRH (Système Informatique Ressources Humaines) sans lequel nous ne pouvons pas tenir nos engagements. La pièce attachée « Une dépense pour faire quoi ? » synthétise la projection des résultats, qualitatifs et quantitatifs, envisagée en version basse.